mercredi 22 avril 2020

Rêve de 2020

Petit aparté, je n'arrive pas à comprendre pourquoi mes rêves contiennent parfois autant de violence.

Dans ce rêve, ambiance post-apocalyptique, j'étais avec deux jeunes, un garçon et une fille qui devaient avoir entre 15 ans et 18 ans, peut-être un peu moins, peut-être une peu plus.
On s'entraidait comme on pouvait pour essayer de continuer à vivre.

C'est ici ! Ils avaient repéré la maison d'un "vieux" dont la porte était ouverte, et planifiaient de rentrer dedans, prendre tout ce que l'on pouvait, et tuer le vieux pour vendre sa chair au marché (car la viande humaine s'y revend assez cher).

J'étais pas forcément d'accord, mais faut bien se nourrir.
Et les jeunes avec qui j'étais ne pouvaient pas comprendre mes problèmes d'éthique, car la violence ils la connaissent très bien; vu qu'ils vivent avec elle depuis qu'ils sont petits elle leur parait normale.

En entrant y'avait de la bonne bouffe sur la table, rapidement j'ai dit aux autres "ne mangez rien, on ne sait pas si c'est empoisonné".
Car vu de la fenêtre, de la nourriture visible comme ça sur la table avec la porte restée ouverte, il valait mieux rester prudent.

On a alors commencé à regarder un peu partout dans la pièce ; on a trouvé une brochure publicitaire de viande humaine, les prix indiqués étaient bien bas, pas suffisamment intéressant pour leur revendre la nôtre.
Puis on s'est rendu compte que l'unique porte pour sortir était maintenant fermée, nous étions donc emprisonnés dans cette petite salle.

La fille s'est assise sur une des chaises devant la table, d'un coup un gros mécanisme avec une pince est descendu du plafond pour l'attraper et remonter vers un piège rempli de scies circulaires qui auraient pu démembrer son corps en moins de deux ; mais avec beaucoup d'agilité elle a réussi à se défaire d'une partie de ses vêtements pour se libérer de l'étreinte des griffes mécaniques.

Quand je vois l’aisance avec laquelle elle a réussi à s'en sortir, je ressens mon corps et sa lourdeur, qui quant à lui n'est plus aussi agile que le sien. Je me demande si j'avais été assis à sa place, est-ce que je serais parvenu à m'en sortir ? C'est loin d'être sûr.

Je commence à prendre peur.

La personne âgée habitant la maison nous regarde alors au travers d'une fenêtre en plexiglas tout en étant dans une autre pièce.

Elle doit aussi certainement vivre du commerce de la viande humaine, ce sont probablement ses prix qui se trouvent sur le dépliant publicitaire et la maison ouverte est un piège pour appâter ses victimes.

On tente alors des négociations avec lui, on lui dit qu'on est trois et armés, qu'il ne peut plus profiter de l'effet de surprise car maintenant on sait que sa maison est piégée, et que vu notre nombre, même s'il tue l'un ou l'autre d'entre nous on trouvera bien un moyen de le tuer lui aussi.
Le mieux pour nous tous serait donc de pouvoir ouvrir la porte et partir.

La personne âgée ne dit pas un mot mais va actionner un bouton qui permet l'ouverture de la porte.

Tout en restant sur nos gardes, nous sortons tous les trois.

Une fois dehors on se parle peu, on a surtout faim alors qu'il y avait de la nourriture sous nos yeux, que l'on n'a pas pu manger de crainte d'être empoisonnés.

Je me réveillerai un peu plus tard.

samedi 9 décembre 2017

Nuit du 17 au 18 Novembre 2017

Cette nuit est un cauchemar, peu de souvenirs.

Je suis avec un mec et deux filles et on évolue dans un monde insécurisant, on est tout le temps sur nos gardes, mais on arrive à surmonter les problèmes environnants et sociaux entre nous, ils sont pourtant nombreux.

Le rêve se déroule 4 fois en même temps ; quatre réalités identiques, mais avec parfois quelques petites différences.

C'est grâce à elles que je peux percevoir les 4 rêves, l'une des différence fut un léger décalage de temps dans l'un des rêves, je déteste les décalages temporels ; durant quelques millisecondes un des rêves n'était plus en phase avec les autres, c'était angoissant et ça a laissé un sentiment de mal être qui a perduré durant un bon moment.

Alors que le cauchemar devenait bien tendu et super oppressant, j'ai pris une pioche et j'ai fracassé le crâne d'une des fille, je devais le faire, je ne sais plus pourquoi mais je devais le faire, c'était ça ou c'était elle qui me le faisait.

Je remarque d'ailleurs que je perçois la réalité plus qu'en deux fois, je dois sûrement être mort le crâne explosé dans les deux rêves qui ont disparus.

Les trois autres personnes avec qui je suis comprennent parfaitement pourquoi j'ai fais ça.

C'est enfin fini, on peut décompresser, et maintenant on doit écrire l'histoire pour qu'elle ne soit pas oubliée.

Durant l'écriture je regarde de temps à autre le cadavre au sol, l'impact sur son crâne est à la fois renfoncé et craquelé sans faire un trou propre, du sang s'en écoule lentement et qui recouvre le sol petit à petit.

Cette vision est plutôt dur à tenir, d'autant plus que je l'aimais bien et qu'on a vécu pas mal de choses ensemble, mais on laisse son cadavre là, à même le sol, je pense que c'est pour pouvoir nous aider à nous souvenir.


Dans une deuxième rêve je suis dans un squat avec d'autres personnes, on essaye de dormir mais on a tous le sommeil léger, alors on se réveille et on discute un peu avec les autres qui n'arrivent pas à dormir.

Le squat est un vieux bâtiment abandonné et il n'est pas encore aménagé ni nettoyé, j'ai réussis à choper un vieux fauteuil pour dormir, mais des petits cafards sortent régulièrement des trous du fauteuil.

C'est pas encore trop gênant, même si ils me montent dessus ça ne m'empêche pas de dormir car étant bien habillé je ne les sens pas, par contre ça m'empêche de changer de position car je ne veux pas mettre mon corps sur les trous d'où ils sortent de peur qu'ils commencent à bouffer mes vêtements.

C'est déjà pas évident de bien dormir sur un fauteuil, si en plus on est limité à une seule position inconfortable c'est pas top, mais bon, je me réveillerais dans la vraie vie peu de temps après, donc ça va.

vendredi 27 novembre 2015

Nuit du 26 au 27 Novembre 2015

Je suis en prison en visite pour aller voir Bouss, je ne sais pas comment j'ai réussis à rentrer pour une visite alors que je ne suis pas de la famille, mais on est là dans la bibliothèque de la prison à discuter.

Durant la discussion il me dit qu'il a trouvé une disqueuse et on pourrait s'évader en faisant tomber le mur, je trouve l'idée très bonne, et effectivement la première partie du mur réussi à tomber uniquement grâce à une simple disqueuse, mais derrière se trouve un deuxième mur qui était collé au premier, il est composé d'un peu de plâtre et de nombreux carrés de plexiglas qui sont disposés les uns sur les autres et dont les côtés font une cinquantaines de centimètres.

Le plâtre adhère mal au plexiglas, du coup après avoir fait une petite brèche avec la disqueuse on peut casser le mur à la main en soulevant les plaques, mais une fois qu'on a enfin réussis à faire un trou suffisamment grand on remarque qu'en passant dedans on est toujours dans la prison, bah oui, on est un peu con, la bibliothèque se trouve au milieu de la prison, du coup on risquait pas de pouvoir s'évader en cassant le mur.

Je me prend alors 6 mois de prison ferme pour tentative d'évasion, en fait la prison c'est pas trop mal, je passe tout mon temps à la bibliothèque à lire, mais je dois bien avouer que mes amis me manquent, je planifie alors mon évasion, et ça tombe bien, elle sera pour aujourd'hui, car un magicien doit venir d'ici quelques heures dans la bibliothèque pour montrer ses tours aux détenus.

Une fois le magicien arrivé il est de plus suivi par une classe de collège qui a été invitée à regarder le spectacle; c'est d'autant mieux car ils sont assez bruyant et ça va permettre de couvrir mon évasion, même si je ne sais pas encore comment je vais m'y prendre.
Je vois une autre détenue qui me regarde, je lis dans son visage qu'elle aussi est en train de vouloir s'évader, elle me montre de toutes petites fenêtres en haut du mur par lequel on avait voulu s'enfuir avant et qui a été reconstruit entre temps, et elle se met à escalader le mur puis réussi à passer à travers la fenêtre.
En voyant la taille de la fenêtre je me dis qu'elle est vraiment trop petite, mais étant aussi mince que la fille, si elle a réussis à passer je devrais aussi pouvoir y arriver. Et oui ! J'y arrive aussi bel et bien, par contre une fois de l'autre côté je tombe directement sur deux gardiens.

Ce sont un blanc et un rebeu, le blanc me regarde avec incrédulité et n'a pas l'air très sympa tandis que le rebeu qui a l'air plus cool me demande si je suis en train d'essayer de m'évader, je lui réponds que oui, il esquisse un sourire et je vois qu'il se force un peu pour ne pas rire ; bah oui, car je suis encore plus con que la première fois, j'ai à nouveau tenté de m'évader par le même mur et je me retrouve à nouveau au beau milieu de la prison.

Alors qu'il est en train de me mettre des menottes le rebeu me demande pourquoi je suis en prison, je lui réponds que c'est pour tentative d'évasion mais qu'à ce moment ça ne servait à rien que je tente de m'évader car j'étais juste là en visite, il arrête alors de me mettre les menottes et éclate dans un fou rire, je me met aussi à bien rire en me disant que sur ce coup là ma connerie n'a eu aucune limite.

Je me réveille par la suite le sourire aux lèvres.

jeudi 26 novembre 2015

Nuit du 12 au 13 Novembre 2015

Je suis avec un type d'une quarantaine d'années et on cherche un coin où se poser pour dormir, je reconnais une gigantesque villa faite de plusieurs maisons avec différentes architectures qui est en réalité une chapelle, je le sais car le pasteur nous as déjà hébergé plusieurs fois par le passé et elle est toujours ouverte à tous ceux qui veulent y aller.

On entre donc dedans, j’appelle pour savoir s'il y a quelqu'un mais ça a l'air d'être vide, j’entreprends de faire visiter les lieux au mec qui m'accompagne, et je me rend compte que je suis en train de rêver car les pièces ne sont plus exactement les mêmes que dans mes souvenirs, des fenêtres ont changées d'endroit, ou le carrelage est différent.

En faisant la visite je me souviens d'un autre rêve où l'on buvant gaiement dans l'une de ces somptueuse pièces, avec le pasteur bien sympa qui était lui aussi un peu pompette mais qui restait en même temps très sérieux.
Alors que je suis dans mes pensées on arrive dans une grande pièce avec au milieu un lit trois places qui serait l'endroit idéal pour dormir, mais dans un recoin de la pièce un type se met à tousser, c'est un camé qui est posé et qui nous fixe le regard dans le vide, je lui demande si il va bien mais il reste aphone, je me retourne alors pour voir ce que deviens le mec qui m'accompagnait et je le vois les yeux injectés de sang s'approcher de manière agressive vers le camé avec un long couteau à dents crantées dans la main.
Je me dis alors "Merde, le rêve était cool mais là il est en train de partir en couille grave", j'essaye de résonner mon pote mais je suis alors réveillé par ma chatte Obsidienne qui vient se poser sur moi pour dormir.


Dans un deuxième rêve je suis dans mon lit mais l'espace environnant n'est pas ma chambre, il fait nuit et je ne peux rien voir, mais je sens que ce n'est pas ma chambre.
Je sais qu'un circulaire dans lequel il est écrit qu'un homme vient embêter les gens dans leur sommeil et qu'il peut être dur à supporter est en train de tourner ; je ressent alors une mains qui me caresse la jambe, je sais que c'est lui mais ne bouge pas, en même temps je dors, du coup c'est un peu dur de bouger.

Pour l'instant ça ne me dérange pas trop, mais petit à petit il remonte ses mains jusqu'à me caresser les testicules, là c'est autre chose, j'ai la sensation qu'on est en train de violer mon intimité, mais je n'arrive toujours pas à bouger ni à me réveiller, je peux quand même lui parler mais télépathiquement et lui somme d'arrêter, mais il n'en a cure, alors je lui dis que je ne supporte plus qu'il me les caressent, au bout d'un moment je répète et cris "je ne le supporte plus, je ne le supporte plus, je ne le supporte plus", au bout de la troisième fois je me réveille en donnant un grand coup de pied sur mon lit avec ma jambe gauche, ce qui fait fuir mon chat qui dormait paisiblement sur mes jambes.

A bien y penser, je pense que l'homme (ou apparenté) qui était là est le même que celui que j'avais déjà rencontré dans la nuit du 16 au 17 Novembre 2008.


Heureusement le troisième rêve fut plus sympa, Arnaud Christine a créé un tableau contenant plusieurs mots et images et il est possible de les entremêler afin de faire des jeux de mots, mais vu que j'ai bien tardé à écrire ce rêve je ne me rappel plus lesquels, ce qui est plutôt ballot car ils étaient bien rigolos.

lundi 9 novembre 2015

Nuit du 8 au 9 Novembre 2015

Je suis dans un camp avec pleins de caravanes, elles ne sont plus faites pour rouler car elles sont aménagées d'une certaine manière où on peut aller d'une caravane à l'autre grâce à des cloisons qui ont étés retirées, ou par l'intermédiaire de grand tubes en plastique dur et transparent, d'ailleurs certains des tubes n'amènent non pas dans une autre caravane mais dans de grandes pièces faites elles aussi en plastique.
C'est plutôt bien fait, et je me demande pourquoi on a pas pensé avant à créer des maisons en plastique, c'est peu cher et esthétiquement ça rend bien.

Avec d'autres personnes ont fait des simulations de vol grâce à des grandes lunettes qu'on a sur les yeux, c'est dans un monde où nous sommes tous interconnectés, et parfois je me demande si c'est toujours de la simulation ou si c'est la réalité.

Plus tard mon neveux Lucas me montre ce qu'il sais faire avec sa petite main greffée sur sa joue un peu en dessous des zygomatiques, il peut déboiter les différentes phalanges et faire pleins de trucs rigolos, de mon côté j'essaie avec la mienne mais je suis très peu habille.
Il me demande comment ça se fait que j'arrive à faire aussi peu de choses, et ça mère répond à ma place en lui expliquant que pour lui elle lui a été greffée à la naissance alors que pour nous c'est assez nouveau, il a donc fallu qu'on s'y habitue et elle nous est plus dur à utiliser.

Dans un autre rêve je suis un militaire dans une caserne, l'ambiance est plutôt sympa, et au bout d'un moment plusieurs femmes arrivent avec lesquelles nous devons faire l'amour pour qu'elles puissent redevenir des zombis.

On met des matelas sur le sol dans une grande salle où nous sommes tous réunis, chaque personne a une femme avec qui il doit coucher, pour moi c'est une grande brune, plutôt jolie, mais avec qui je ne ressent pas vraiment d'affinité au premier abord.
Elle se dénude et me file une capote, apparemment on est obligé de la mettre, une fois mise la femme tiens je ne sais pour quelle raison à ce que j'en mette une seconde par dessus, ce que je ne veux pas, alors elle me la met elle même, ce qui me fait bien chier car la première capote était déjà trop petite et me sers trop la bite ce qui empêche l'afflux sanguin d'arriver normalement et ne me permet pas d'avoir une érection maximale.
Pendant que je fais ma petite affaire sans grande conviction j'écoute ce qui se dit à côté et j'apprends que suite à l'éjaculation on va ouvrir notre crâne et retirer une partie de notre cerveau pour faire de nous une autre forme de zombis, que l'on devienne des travailleurs dociles incapable de penser, ils font ça sur les militaires car ils sont généralement en bonne condition physique.

Je me dis alors que merde, je vais à moitié crever et le sexe est pourri, c'est vraiment pas ma journée, et puis la fille ne m'aide pas non plus, alors j'y vais de façon plus bourrin, mais ça n'empêche pas le manque de sensation lié à la capote trop serrée et le fait que la fille soit pas super active.
Tiens, elle se met quand même juste à me toucher les couilles et le périnée, sauf que je suis super sensible du périnée, j'essaie de l'en empêcher mais elle continue, ce qui fait qu'au bout d'un moment j'éjacule mais sans réellement avoir un orgasme, je continue de la ramoner comme si de rien n'étais en espérant que le sperme ne se mette pas à couler hors du préservatif, j'ai quand même envie d'avoir un orgasme avant d'être zombifié, mais pas de chance, une de celles qui s'occupe des lobotomies remarque que j'ai éjaculé, elle vient me voir, et malgré mes protestations m'ouvre le crâne grâce à l'ongle de son index qui est hyper coupant, puis me retire une partie du cerveau.

A ce moment j'ai encore l'image mais j'ai complètement arrêté de bouger, et je ne réfléchis plus, je suis comme vide, ça dure une trentaines de secondes, puis je me réveille.

vendredi 9 octobre 2015

Nuit du 20 au 21 Septembre 2015

Je suis à un mariage, Camille a la trentaine et son cousin un peu éméché s'inquiète pour elle, il a peur qu'elle n'aie de mauvaises fréquentation et qu'elle tombe dans les drogues et la luxure ; pourtant elle a l'air parfaitement bien dans sa belle robe et tout à fait lucide.

Son cousin a la taille de Ponpon et ressemble à Ponpon intérieurement, mais hormis sa taille physiquement ce n'est pas lui, il a environ 45 ans, les cheveux longs gris et le visage creusé.

Le mariage se passe dans le désert, à un moment pleins de mini tornades se créent autour de nous, ça fait un peu peur aux invités, la base de l'une d'entre elle se trouve dans un gobelet en plastique posé sur le sol, je prend alors le gobelet, coupe la base de la tornade pour qu'elle tourne dans ma main, de la lumière et des couleurs passent de ma main pour aller dans la mini tornade, c'est vraiment très beau, elles se mettent à former différents symboles, puis la mini tornade disparait.


2ème rêve : Guillaume le Magicien sort un insecte de sa poche qui ressemble à un perce-oreille mais noir et avec une plus petite pince, il me le donne, celui-ci joue sur ma main puis tourne autour de mon poignet ce qui fait que je ne peux plus le voir, je retourne mon poignet pour voir où il en est et il est en train de creuser un trou pour rentrer dans ma peau, je ne sais pas quoi faire car il est déjà bien avancé dans son entreprise et le voir rentrer comme ça dans ma chair me terrifie légèrement.
Une fois qu'il est entièrement rentré à l'intérieur il fait un tour sur lui même sous ma peau et laisse sortir uniquement sa tête, avec mon autre main je prends alors les côtés de mon poignet et pousse dessus afin de faire sortir l'insecte, ce qu'il fait mais un second sors alors la tête, je réitère mon entreprise et celui ci sort à son tour.

Je comprends alors que c'était un couple d'insecte qui cherchait un endroit où leur progéniture serait en sécurité, si j'avais su ça avant je leur aurait peut être laissé un petit endroit dans mon corps pour qu'il puisse le faire, en attendant ils m'ont bien fait flipper à rentrer comme ça dans mon bras, même si bizarrement je n'en ai ressenti aucune sensation de douleur.

mercredi 17 décembre 2014

Nuit du 15 au 16 Décembre 2014


Cette nuit je suis enceinte car Epsil m'a fait un enfant télépathiquement, un peu comme Dieu sur la vierge Marie.
Lors du grand jour j'accouche de faux jumeaux siamois avec deux têtes et quatre bras, ce sont un garçon et une fille, je suis comblé de bonheur.

mardi 16 décembre 2014

Nuit du 9 au 10 Décembre 2014

Je suis sur un bateau de plaisance et j'ai l'impression de faire un rêve important qui reproduit un schéma type ; il s'y trouve cette blonde aux cheveux court que je retrouve de temps à autre comme une sorte d'archétype.

Je ne me souviens que très peu du rêve en lui-même ; les souvenirs importants que j'ai voulu retenir sont cette machine qui donne des œufs en plastiques avec une surprise dedans si on réponds bien à une énigme, on l'a trafiqué avec Mr poisson, un poisson très sympa et rigolo, pour faire une blague à la blonde ; cette blague était bien marrante et recherchée, dommage que je ne m'en souvienne plus, elle était bien plus drôle que l'autre où l'on faisait croire que les requins n'étaient plus là, ce qui amenait apparemment à des disparitions, mais on s'amusait tellement.
D'ailleurs ça a aussi amené à la disparition de Mr poisson que j'ai vu disparaitre au fond de l'eau, emporté par le requin et laissant derrière lui une trainée de sang.

J'étais encore sous le choc quand l'inspecteur est arrivé pour me poser des questions à ce sujet, je n'ai rien dis pour couvrir les autres, je n'ai pas non plus parlé du trafiquage de la machine à œufs cadeaux, après tout je n'étais qu'un petit lapin dans ce monde d'humains, et je parlais en anglais avec un accent de lapin, puis le cuisinier est arrivé, il était lui aussi dans le coup, il était sympa avant mais là il était nerveux quand il est arrivé, il n'avait plus confiance en moi et avait peur d'avoir été balancé, ça m'a fait perdre mon sang froid et j'ai commencé à parler en français et à perdre mon accent, du coup l’inspecteur c'est mit à douter ; à douter de ma parole autant qu'à douter de mon identité de lapin, pourtant j'en était un et cela se voyait, je lui répondais que si je parlais en anglais c'est car c'était ma langue lorsque j'étais stressé et qu'il m'impressionnait, mais ils commençaient à s'énerver tous les deux et c'est à partir de ce moment que j'ai ressentis que je vivais un cauchemar dont la structure est récurrente mais je n'arrivais généralement pas à m'en souvenir au réveil, ou seulement quelques seconde.

J'ai du m'enfuir, et en m'enfuyant je récupérais petit à petit ma forme humaine, après avoir descendu plusieurs escaliers pour fuir je me suis retrouvé dans la soute, et là j'étais poursuivi non plus uniquement par l'inspecteur et le cuisinier mais aussi un très grand nombre de personnes qui n'avaient pas de liens directs entre eux, je ne me souviens plus vraiment qui ils étaient malgré un long moment passé à tenter de m'en rappeler, il s'y trouvait Fuzati, plusieurs personnes venant de groupes de musiques, la blonde et des personnages qui paraissent maintenant chimériques à travers mes souvenirs, et ils avaient tous les yeux injectés de sang et je pouvais percevoir la haine dans leurs yeux, de mon côté je tentais de courir dans tous les sens pour leur échapper, sachant que j'étais dans un rêve je créais des armes pour les tuer mais ça ne marchait pas, j'étais terrorisé avec un sentiment d'impuissance.
J'ai finis par me faire rattraper, torturé puis écartelé, je me souviens très bien de la perte d'un de mes bras qui s'arrache du reste de mon corps, ça faisait très mal, sachant que j'étais dans un rêve je voulais mourir pour changer d'endroit mais n'y arrivais pas.

Dans uns sorte de rêve transitoire j'étais moi et j'avais une grosse barbe hirsute et non entretenue avec des cheveux longs et emmêlés, je me sentais las mais me suis dit qu'il était temps que je sorte de mon hibernation, j'ai donc commencé à me couper la barbe tandis qu'une personne inconnue me coupait les cheveux.

Le deuxième rêve commence avec un homme d'une quarantaine d'années qui est assit devant la machine à œuf du premier rêve ; la machine a été désactivée depuis longtemps car elle faisait une blague sur Hitler après la résolution d'un énigme et ça a été jugé de mauvais gout.
L'homme assis devant se souvient très bien du moment où très jeune son père mettait une pièce de 10F dedans et l'aidait à résoudre l'énigme, mais c'est fini maintenant, elle ne fonctionne plus et il éprouve un profond sentiment de tristesse, une impression de souvenir d'enfance détruit, puis peu à peu la colère l'envahit, et à ce moment un ring géant se met en place et c'est partit pour 45 secondes d'ultra violence pour décompresser.
Je suis moi aussi projeté sur le ring même si je n'en ai pas très envie, et toutes les personnes qui me poursuivaient auparavant aussi, cette fois c'est de la rage et non de la haine qui se voit dans leurs yeux, et tous le monde s'entretue, de mon côté je ne comprends pas pourquoi je n'arrive toujours pas à me créer une arme alors que je suis pourtant dans un rêve, même faire de faux pistolets avec mes mains ou envoyer des lasers avec les yeux ne marche pas.
Je sais que la colère n'est pas focalisée sur moi mais qu'elle provient de raisons diverses et différentes pour chaque individus, du coup j'accepte cette violence, mais ça ne m'empêche pas de me sentir mal face à elle et d'avoir très peur, et vu que je n'arrive pas à être armé je me fais exploser avant la fin des 45s.

Un deuxième round se lance, étant à nouveau confronté à une impuissance due à l'incapacité de m'armer je m'envole et sort du ring, je me laisse guider par des léger courants aériens qui me transportent, hors du ring les décors sont très beaux même si je suis dans la pénombre car il fait quasiment nuit et le ring était éclairé, en dessous de moi je peux observer un marécage et une sorte de lac, sur une petite île j’aperçois deux parachutistes habillés en militaire, ils m'ont vu et je ne sais pas si ils sont amis ou ennemis, du coup je dirige en partie mentalement ma direction et fait une diversion en profitant du fait qu'il y ai une colline sur l'île qui sous un certain angle vont les empêcher de me voir, puis je descend et atterris dans une forêt.
Je remarque que les parachutistes sont à mes trousses et qu'ils sortent leurs pistolets, je me met donc à léviter pour aller plus vite et vole en marche arrière en restant debout, j'arrive à avoir une forme ectoplasmique qui me permet de passer au travers des arbres de la forêt, je rencontre un camp de réfugiés adverse et le traverse sans le contourner, ce sont des réfugiés et ils n'ont donc aucune raison de m'en vouloir, ils subissent la guerre tout autant que moi, par contre les parachutistes sont de plus en plus près de moi et commencent à me tirer dessus, comme avant je n'arrive pas à me créer d'armes, mais au bout d'un moment je me dis que je n'en ai pas besoins et je me met à penser au feu et le haut du crâne d'un des parachutiste s'enflamme, je regarde alors le second dont le corps entier s'embrase, puis je me réveille, ou plutôt je crois me réveiller mais je suis toujours en train de rêver.


Je prend rapidement une feuille et un stylo pour noter mon rêve car je remarque qu'il est déjà en train de disparaitre et c'est un rêve qui m'est cher, je tente de faire la liste des personnes qui me poursuivaient dans la soute mais je n'arrive à avoir que quatre noms, je me focalise très fortement sur ma mémoire pour faire revenir les souvenirs et je remarque que quelque chose cloche, je réfléchis tout en regardant mon deuxième pouce sur ma main gauche mais ne trouve pas, j'entends à plusieurs reprises dans ma tête "brouiller la liste pour réflexion", à un moment le sens de cette phrase m’apparait clairement (même si maintenant je ne sais pas ce que ça voulait dire) et mon deuxième pouce explose comme une cloque avec une partie du liquide salé qu'il contenait qui me rentre dans l’œil gauche, je ressens alors cet œil qui bouge dans mon corps réel ce qui me permet de l'ouvrir et me réveiller pour de vrai cette fois.


Il est 3H42, je remarque que mon corps est plutôt tendu, je me lève pour prendre de quoi noter les grandes lignes de ce rêve jusque 4H15 avec le plaisir d'avoir enfin pu attraper ce cauchemar alors que d'habitude je l'oublie quasiment aussitôt après le réveil et il ne m'en reste qu'une sensation corporelle et psychologique désagréable ; tout au long de l'écriture une légère sensation de peur irrationnelle inonde mon corps et j'ai vraiment envie d'aller me recoucher rapidement afin que cette sensation cesse.

samedi 6 décembre 2014

Nuit du 30 Novembre au 1er Décembre 2014

Cette nuit j'ai appris que les chats sont capables de communiquer avec les anciens dieux, ceux du la Grèce antique, des Romains, des Égyptiens, des Mayas, des Incas, etc... Tous ces dieux sont issus du même endroit et un même dieu peut avoir différent nom selon la culture, d'ailleurs si les Égyptiens vénéraient les chats c'est car ils savaient qu'ils peuvent communiquer avec les dieux, c'est Obsidienne qui m'a raconté tout ça, ma petite chatte noir, bah oui car je peux parler avec elle par télépathie, et elle m'a aussi dit que si certains humains pensent que les chats noirs portent malheur c'est car les chats noirs qui subissent des mauvais traitements d'un humain peuvent demander à un dieu de lui lancer un sort qui fera s'abattre sur lui la malchance.

J'aime bien discuter avec Obsi, et je crois que je suis en train de tomber sous son charme en me perdant dans le fond de ses yeux avant de me réveiller.

Nuit du 8 au 9 novembre 2014

Premier rêve ; j'étudie dans une université au Japon, lequel est devenu un état totalitaire et je suis en couple à trois avec deux jolies brunes.

Même si je vis dans un état totalitaire je m'en fous, je suis heureux et me balade dans le métro pour rentrer chez moi après avoir quitté mes deux femmes, mon corps est remplie de joie et tout en remontant un escalator en colimaçon avec une inclinaison de plus de 45° je chante du Mika qui passe dans la radio du métro.


Notes du deuxième rêve, plus de souvenir : film heroic fantasy -> petit être se fait embrocher, à l'intérieur aussi zigouillé.


Dans le troisième rêve je suis dans une voiture sur l'autoroute et on va vers Lille, de temps à autre des voitures de sport nous double à toute vitesse car une course sauvage a été organisée, j’aperçois aussi de temps en temps des voitures de police avec les gyrophares allumés qui les poursuivent, ainsi que quelques accidents, ça fait du beau spectacle.
On est à cinq dans un van et je ne connais pas les quatre autres personnes mais c'est une bonne bande de tarés, surtout celui là à poil qui mime un acte sexuel avec l'autoradio, on rigole bien en disant de la merde, je crois que je suis bourré.

Je ne sais comment ça se fait mais à partir d'un moment je me retrouve dans une autre voiture avec trois filles, elles sont sympas et on a des discutions intéressantes, puis on croise le van dans lequel je me trouvais avant et je rigole en leur faisant un signe de la main.

Avant d'arriver à Lille on fait une pause pipi et j'y croise Matty elle nous offre un petit pot en verre qui contient un petit bout de shit, de la monnaie pour le parcmètre, une aiguille et du fil ; c'est cool, ça pourra nous servir.
Elle nous dit qu'il faut faire gaffe aux flics sur Lille, ça a changé de maire et ce n'est plus le type qui possède les shampoings Schwarzkopf mais la patronne de l'Oréal, et pour fêter son élection elle a organisé un grand banquet avec les tunes de la mairie tout en augmentant les impôts fonciers, du coup y'a des manifs un peu partout et les flics tapent dans le tas, faut pas se retrouver au mauvais endroit.

Une fois dans Lille la suite du rêve est floue, je me souviens juste qu'il partait en boucle, je cherchais un truc à grailler et la première fois je suis passé devant une boulangerie et en regardant de l'extérieur ils n'avaient pas l'air d'avoir beaucoup de choix dans les sandwichs, du coup je suis partis au Carrefour plus loin, mais là bas non plus ils n'avaient rien qui m'intéressait ou trop cher, à ce prix là autant prendre un sandwich en boulangerie mais je suis quand même repartis avec un sandwich triangle, j'ai profité ensuite de la boucle qui faisait que je repartais à mon point de départ pour cette fois aller à la boulangerie et prendre un sandwich avec des œufs et du thon, la boulangère était sympa mais y'avait du monde derrière du coup impossible de discuter longtemps, elle me donne tout de même un plan concert pour le soir, je ne me souviens plus de la suite.

vendredi 7 novembre 2014

Nuit du 5 au 6 Novembre 2014

Je suis dans l'enceinte de mon ancien collège et je dois aller à un cours d'histoire qui commence dans 5mn, sur le chemin je trouve certain de mes anciens camarades de collège et on a tous notre âge actuel, ils me proposent d'aller boire un coup, je leurs réponds que je ne peux pas car j'ai cours d'histoire, ils me disent que ce sera vite fait, du coup je les suis et on est téléportés dans une sorte de bar universitaire.

Là bas je bois très rapidement un alcool d'origine inconnu puis leurs dis que je dois filer, ils me répondent que je ne peux pas partir comme ça et me donnent une carafe contenant de la vodka et un verre ; pour ne pas perdre de temps je fonce vers mon cours tout en remplissant le verre, ce qui fait que je me retrouve avec une carafe vide et un verre d'au moins 15cl de vodka dans les mains.

Le cours d'histoire se trouve au troisième étage, je monte rapidement les marches tout en me demandant où je pourrai bien poser la carafe pour ne pas rentrer en cours avec, je la rendrai au bar une fois le cours fini, pour le verre de vodka je me dis que ça va passer, j'ai qu'à dire que c'est de l'eau et le siroter tranquillement en cours.

Arrivé au troisième étage lorsque je passe la porte je traverse une sorte de mini trou de verre qui me téléporte à l'intérieur de la salle avec un Diejobda, c'est un tout petit être nu entièrement blanc nacré qui dit en boucle "Diejobda, diejobda, diejobda, guuhk guuhk guuhk", il est tout souriant et rigolo, j'espère que ça ne va pas trop déranger le prof si il reste dans la classe.
La salle de cours est une très grande salle, on doit bien être une centaine d'élèves dispersés un peu partout et six ou sept profs qui font des cours différents, je cache la carafe sous un table pas loin de l'entrée en me disant que je la reprendrais à la sortie.
Tout en goutant la vodka je vais vers là où mon prof fait cours, apparemment ça va, il vient juste de commencer. Je m'assoie sur une chaise tandis que le Diejobda préfère continuer de dire en boucle sa sorte de mantra tout en faisant le tour des tables en dansant, l'ambiance est très agréable, ma voisine colorie une carte du continent Africain tandis que le prof parle de la colonisation, je ne sais pas ce qu'il adviendra par la suite car je me réveille.

jeudi 11 septembre 2014

Nuit du 9 au 10 Septembre 2014

Avec un mec on a une petite entreprise de voyage en avion ; quoique, avion c'est un bien grand mot, ce sont plutôt des petits aéronefs une place qui permettent de traverser un champ de quelques hectares.
Pour payer il faut donner une pièce en argent que l'on vend séparément juste avant le vol (2 pièces max par personnes) et que l'on a fait tirer à quelques dizaines de milliers d'exemplaires, on espère que la pièce va prendre de la valeur chez les numismates ainsi ça pourrai nous faire plus connaitre et nous apporter plus de clients, ensuite si le prix de la pièce devient plus élevé que le prix normal du voyage on revend toutes les pièces et on trouve un nouveau moyen de paiement.


Dans un autre rêve je suis dans un jeux vidéos, je ne me souviens plus trop bien du début du rêve, jusqu'au moment où je me retrouve avec du monde dans une pièce en 2,5D (fausse 3D) avec les même graphismes qu'un ancien jeux vidéos à énigmes hyper glauque qui se passait dans un hôpital psychiatrique.
Je peux choisir entre 3 quêtes, l'une dans laquelle il faut aller très loin chercher un truc, une autre dans laquelle je dois aller tuer quelqu'un d'assez éloigné et la dernière où j'ai juste à entrer dans la pièce d'à côté pour pénétrer trois cadavres de femmes et ramener quelque chose qui se trouve dans le sexe de l'une d'entre elle.

Je choisis la troisième car c'est tout près et je n'ai pas envie de perdre mon temps à marcher, mais avant de rentrer je rencontre Jessica avec trois de ses copines et la texture graphique de l'environnement et de nos corps redevient comme dans la vrai vie ; je lui demande des nouvelles, puis plus tard lui explique ce que j'allais faire, elle me répond que c'est répugnant.
Sur le coup je m'en fous un peu car je suis dans un jeux vidéo ; elle insiste et à bien y penser vu que l'on est plus en 2,5D c'est vrai que c'est pas top, du coup je laisse tomber, les autres quêtes aussi car j'ai vraiment pas envie de marcher longtemps ni de rester dans cet univers malsain, je décide alors d'aller dans la salle d'entrainement.


La salle d'entrainement est un grand Colisée Romain dans lequel se trouve en son centre Yoda et Spirou, je vais discuter un peu avec eux puis leur demande si on peut s'entrainer, nous sommes alors téléportés dans un grand parking vide avec Yoda qui se trouve à 50m en face de moi.
Je peux courir super vite et ma force est décuplée, mais Yoda va beaucoup plus vite, tellement qu'il est difficile de le voir bouger et il n'arrête pas de passer à côté de moi super rapidement en me donnant des petits coups tandis que j'essaie d'anticiper ses mouvements pour lui mettre des grosses tartes, bah oui c'est tellement dur de le toucher que je n'y vais pas de main morte.

Yoda commence à créer plusieurs clones de lui même et son corps s’aplatit, tous les Yoda se tiennent les mains et les pieds pour créer des êtres bizarres qui forment des figures géométriques assez complexes, il continue de m'attaquer tout en changeant continuellement de forme ce qui fait que je n'arrive plus du tout à le toucher, ça commence à m'énerver et il le remarque, du coup il arrête et une voiture de sport blanche apparait à côté de lui, il rentre dedans et me fonce dessus, mais grâce à ma vitesse de course décuplée j'arrive à l'esquiver.

Je vois alors Spirou dans une voiture de sport rouge qui essaye aussi de m'écraser, j'arrive plutôt bien à esquiver les deux voitures et tente en même temps d'exploser les rétroviseurs externes avec mes pieds lorsqu'elles passent à côté de moi, ce qui n'est pas trop difficile mais par la suite je suis un peu embêté car je ne sais plus trop quoi faire pour les arrêter, heureusement une jolie moto rouge est apparue et je m'empresse de la chevaucher.
Grâce à elle et à ma super force je peux sauter sur les voitures pour casser leur pare brise avec ma roue arrière, par contre ils sont super résistants et j'arrive à peine à leur faire quelques petits impacts que Carglass saurait reboucher en dix minutes ; au moins là c'est plaisant de pouvoir sauter sur des voitures en moto en fonçant à toute allure, et puis y'a Tintin qui est arrivé sur un vélo.

D'ailleurs n'arrivant pas à casser les pares brises je me rabat sur Tintin et fonce dessus à plusieurs reprises afin de le faire tomber, mais même en vélo il est complètement intouchable, dès que je pense que je vais l'avoir il fait une esquive hyper rapide, je commence alors à perdre patience, descend de la moto, et alors que Tintin passe à côté de moi je soulève la moto et grâce à elle lui met un grand coup dans la gueule, il est éjecté de son vélo et a le visage en sang tout défiguré.
Yoda et Spirou sortent alors de leurs voitures, ils me demandent ce qu'il se passe, pourquoi j'ai fait ça. En voyant le visage boursouflé de Tintin je me sens con et leur dis tout penaud que je ne sais pas, j'ai perdu patience et tout c'est enchainé, puis je me réveille.

Nuit du 4 au 5 Septembre 2014

Je suis à la braderie de Lille, en fait ça ressemble plus à une grosse fête de village pas loin des champs, j'ai perdu tous ceux avec qui j'étais car ils avancent trop vite et je préfère prendre mon temps pour tout regarder.

J'entends du gros son d'hardteck mal calibré et qui crache, je me dis que ça doit être un stand qui l'a posé mais en fait non, dans un petit champ de betteraves y'a un mur de son, enfin, un mur, pas vraiment, ce sont des vieilles chaines Hi-fi reliées entre elles et posées sur des ballots de paille, avec trois caissons de basses posés n'importe comment.
Je fonce pour taper de la patte sur le son, c'est pas super évident car le sol n'est pas droit et j'essaie de ne pas trop écraser les betteraves, à un moment Pauline S m'appelle pour me prévenir qu'ils vont bientôt partir et me demande ce que je fais, sachant que Tony Hawk et je sais plus trop qui, Balavoine ou un truc comme ça, devraient pas trop tarder à arriver, je lui réponds que je reste, j'ai pas envie de louper ça et y'a du bon son.

A peine ais-je finis de raccrocher que j'entends gueuler "Tony Hawk, Tony Hawk, Tony Hawk..." et vois Tony Hawk qui arrive sur le champ de betterave entouré de nombreuses personnes qui l'acclament.
Là je ne sais comment c'est arrivé mais lorsque je me retourne je vois qu'une petite maison est apparue au milieu du champ, on est une quarantaine à rentrer dedans avec Tony Hawk et tous le monde s'active pour mettre des tables, chaises et bancs, d'ailleurs certains sont agencés pour pouvoir faire des sortes de rampes de skate faites à l'arrache, je me dis que Tony Hawk vas nous faire une petite démo, mais non, il préfère prendre une catapulte faite de matériaux de récupération, on lui amène alors un seau contenant des boules d'une dizaine de centimètres de charbon incandescent et d'acide qu'il commence à catapulter contre un mur de la maison sous les acclamations du public.

Les boules explosent contre le mur et c'est bien jolie à voir, par contre nous sommes assis trop près du mur et des éclats passent très près de nous, loin de nous inquiéter je commence à discuter avec mes voisins.
Au bout d'un quinzaines de boulettes lancées l'une d'entre elle faite d'acide n'explose pas contre le mur mais ricoche sur mon voisin de droite et son T-shirt commence à fondre, il se met à crier et tous le monde rigole, ah ah, qu'est ce qu'on s'amuse avec Tony Hawk.

vendredi 8 août 2014

Nuit du 6 au 7 Aout 2014

Nuit particulièrement onirique aujourd'hui, au début j'ai eu beaucoup de mal à dormir, je me retournais dans mon lit car le rêve était basé sur une série d'énigmes très répétitives à résoudre, et si je (ou "on" car nous étions plusieurs) n'y arrivait pas des gens mourraient, mais pas genre "Oh non ils vont mourir !", plutôt style "Ouais, bon bah ils sont crevés, on continue la suite".

Le fait que je me retourne dans le lit était plus dus à la répétition de toujours la même énigme de plus en plus complexes avec seulement quelques variantes, plusieurs fois je me réveillais en me disant que j'étais en train de faire un rêve "de base" (pourquoi, ça je ne sais pas) et que c'était chiant car je bouclais complétement mais avec toujours l'envie de continuer plus loin alors que ça m’empêchait de bien dormir.


Dans le second rêve nous vivons dans un monde pré-technologique, on porte des peaux de bêtes, on a des lances et des sortes de haches et on est des gros viandars, tous les animaux qui passent à notre porté on les chassent, puis on fait des grosses bouffes en mélangeant le tout, les humains qui meurent sur le chemin on les dépèces aussi pour les mettre avec le reste de la viande, nous mangeons le tout cru mais ça passe bien.

Plus tard y'a une sorte de Dieu Chat qui arrive, ou plutôt qui va bientôt arriver, du coup ça devient un peu trash, y'a pleins de monde qui s'entretuent pour faire des sacrifice humain afin que son règne se passe bien et qu'il soit clément avec nous.
A un moment je parviens à accéder à l'endroit où il a fait son apparition, c'est en fait une sorte de chaton géant qui ne bouge pas, mais vraiment géant, en long il doit bien faire la taille d'un immeuble de 50 étages.
Je reste pas longtemps car il est gardé par de nombreux types avec des lances qui n'ont pas l'air commode et qui tuent sans vergogne ceux qui s'approchent trop.

Encore plus tard je parviens à pouvoir discuter avec le Dieu Chat sous sa forme adulte, bein en fait c'est juste un type un peu grand qui a des poils de chats partout sur le corps et une tête de chat, et bizarrement il est super sympa, c'est plus de ses nombreux gardes du corps dont j'ai peur car un seul mot déplacé de ma part et ils me transpercent de leurs lance.
C'est peut être juste les humains qui sont cons, ils voient un très gros trucs nouveau qui arrive et ils se mettent à flipper et à s'entretuer dans tous les sens, alors que si ils avaient attendus ils auraient pus voir que le Dieu Chat c'est une mec cool, même si quand il était tout jeune il faisait quelques centaines de mètres de long.


Dans le troisième rêve on est en randonné dans des montagnes, à un moment on trouve des pierres qui forment des petites pyramides qui ont l'air de s'enfoncer dans le sol, plusieurs d'entre elles ont étés recouvertes par du grillage.
A un moment on se dit qu'on va retirer le grillage pour voir de plus près les pyramides, ceci fait on se met à démonter les pierres des pyramides, qui sont en fait creuses à l'intérieur et qui vont très profondément dans le sol, dedans on peut voir une sorte d'usine géante avec pleins de monde qui s'active de partout.
J'arrive à descendre je ne sais comment à l'intérieur, je visite tout en me cachant au maximum mais au bout d'un moment je me fait repérer, c'est en fait un site archéologique ultra-secret dans lequel on a trouvé une nouvelle technologie, laquelle j'en sais rien, on ne veux pas me le dire ; on ne veut pas non plus me laisser partir, ce qui est plutôt gênant car je n'ai pas envie de finir mes jours ici, de plus j'ai laissé mes potes de randonné en haut, ils doivent m'attendre et ça m'ennuie un peu.

Au bout d'une longue discussion j'arrive à prouver ma bonne fois et j'ai le droit de partir, mais il faut que je ne parle de ça à personne et que j'arrête de venir ici.
Une fois repartis sur la colline j'arrive à retrouver mes compagnons de rando, je leur parle du truc et on retourne chercher les pyramides pour les démonter et voir ce qui se trouve dedans, mais elles sont toutes vides, nous n'arrivons pas à retrouver celle qui contenait la base secrète.


Dans le quatrième rêve je glisse sur des toboggans à eau, de partout des bâches sur lesquelles ruisselle de l'eau, c'est vraiment génial, et à la toute fin je tombe sur un restaurant chinois remplis de japonais.

Au fond du resto se trouve plusieurs aquariums avec des poissons, des tritons, grenouilles et autres animaux aquatiques / semi-aquatique. Chacun représente une lettre ; afin de résoudre une énigme on peut les mettre dans un ordre précis à l'intérieur d'un tube qui les envois dans un autre aquarium, mais apparemment c'est formellement interdit.
Vu que j'ai la solution de l'énigme je commence tout de même à le faire, mais à peine ais-je mis un poisson rouge à l'aide d'une épuisette dans le tube qu'une ribambelle de policier arrivent et me foncent dessus, ils m’emmènent dans l'arrière salle du magasin et crient très fort, j'ai peur qu'ils me frappent alors je leurs dis que je suis japonais, ou une japonaise je ne sais plus trop bien, et là d'un coup ils se calment et cherchent un autre coupable.

Ils trouvent un autre type, un japonais, les flics lui sautent dessus en pensant que c'est lui, ils commencent à le matraquer, le pauvre homme à beau se défendre en en expliquant que ce n'est pas lui en français et en japonais les policiers continuent de plus belle.

Je me dis que je devrais l'aider, mais une policière commence à me parler en japonais et je ne comprend rien, afin de ne pas perdre ma couverture j'oscille seulement de la tête pour lui répondre en cherchant rapidement une sortie ; je trouve une sorte de grand sas et fonce vers lui afin de m'échapper, une fois rentré dedans je me retrouve dans un commissariat de je ne sais plus quelle grande ville dans le sud, je retrouve un commissaire / détective que je connais d'un rêve précédent et lui demande comment ça se fait que je me retrouve ici, il m'explique que c'est une sorte de téléporteur mais qu'il ne l'utilise pas car il n'est pas familier des nouvelles technologies.
Je me réveille après ça.

lundi 16 juin 2014

Rêve de début Juin

Je suis dans un film de Cronenberg et j'enquête sur la disparition d'une femme ;  l'ambiance est très bizarre et au fil des évènements j'oublie ce qui c'est passé avant.
Du coup j'accumule les indices et les note sur un petit calepin, mais ne me souvenant pas comment je les aies eu ni à quoi ils se rapportent, plus j'avance et moins je comprends, ce qui donne un côté burlesque au rêve.

Au bout d'un moment je n'y comprends plus rien, je continue pourtant de chercher à comprendre car je trouve ça amusant et j'aime bien l'ambiance générée par la confusion et l'absurdité de la situation.

Je rencontre alors un couple libertins qui se baladent nus, ils m'expliquent que depuis qu'ils sont libertins leur vie de couple est plus épanouie, j'en prend note même si ça ne me sera surement d'aucune aide pour l'enquête.
La fille me demande si je veux coucher avec elle, je lui réponds "Oui, mais je dois aussi avancer dans l'enquête", je me déshabille donc, elle se colle dos à moi et je la pénètre, puis recommence à marcher avec elle devant moi tout en faisant des vas et viens de temps à autre afin de ne pas perdre mon érection, mais je dois bien avouer que chercher à comprendre le mystère de la femme disparus m'intéresse plus que le coït.

Peu de temps après je rencontre mon père, je suis un peu emmerdé vu la situation dans laquelle je me trouve, du coup je m'assoie sur une chaise et tente de cacher la femme qui se met en boule entre mes jambes, puis discute tranquillement avec mon père qui a l'air de ne rien remarquer.

A la fin du rêve je commence à me réveiller mais tente de continuer à dormir pour connaitre la fin de l'enquête, ce qui arrive mais elle est toute pourrie, mon imaginaire a du avoir la flemme car la conclusion est qu'en fait la femme que je recherchais est une figurine en plastique dont quelqu'un a retiré l'emballage ce qui fait qu'elle a perdu au moins la moitié de sa valeur, et ça correspond même pas aux indices que j'ai pus trouver, oubliant que c'est un rêve je me dis que Cronenberg a vraiment du manquer d'imagination pour faire une fin aussi pourrie.

mercredi 11 juin 2014

Supprimer les parasites (fin 2011)

Il fait jour et plutôt beau, je me ballade dans Charleville sur une moto invisible en étant moi même invisible, d'ailleurs tout le monde et tous les véhicules sont invisibles et silencieux, les rues sont donc désertes, mais je sais pourtant exactement où sont chacune des voitures et n'ai aucune difficulté pour circuler normalement.

A un moment je me retrouve au rond point en haut du Theux et prend la seule route dont je ne connais pas la destination ; au bout de cette rue se trouve un grand hangar qui est en fait une usine, je m'arrête pour aller à l'intérieur et une fois dedans tous le monde redevient visible.

On m'attendait, un homme me dit que je dois le suivre car il se trouve quelque chose que je dois faire, à ce moment deux jumeaux chauves et assez grand arrivent, le premier me dis « Je suis la partie de toi qui ne voit pas », et le second enchaîne « Je suis la partie de toi qui n'entend pas » ; je ne vois pas trop ce qu'ils veulent dire par là, surtout qu'ils n'ont pas l'air aveugle ni sourd, du coup je les suis tous les trois sans trop me poser de question.

En quittant le hangar ont doit passer au travers d'un grand rideau rouge, au moment où je traverse le rideau un géant chauve plein de muscles qui a l'air bien énervé court derrière un nain chauve pour l'attraper.
Je tente d'aller aider le nain et me met à courir pour aller devant le géant afin de l'arrêter, mais il me frappe violemment au visage ce qui me fait tomber, puis, alors que je suis à terre, il me roue de coup jusqu'à ce que je meurs, ce qui a pour effet de me renvoyer au début du rêve sur la moto invisible.

Là je connais bien le chemin, je retourne donc dans l'usine ; là rebelote, « Je suis la partie de toi qui ne voit pas », « Je suis la partie de toi qui n'entend pas », je dois les suivre ; ce que je fais, mais cette fois je laisse le géant courser le nain et continue ma route, je ne saurais donc pas ce qui leur est arrivé.

Nous arrivons plus tard dans une ferme, il fait très beau et chaud, je vois mon frère et sa femme sur une charrette et discute longuement avec eux tandis que mes deux neveux jouent plus loin dans les champs.
Au bout d'un moment l'homme qui me demandait de le suivre me dit que je vais bientôt devoir y aller, je dis donc au revoir à toute la famille et repart avec l'homme et les deux chauves.

Nous n'allons pas très loin, dans une petite cabane en béton à environ 15m de là où on était.
Une fois arrivé dans cette cabane l'ambiance change totalement, une odeur pestilentielle de putréfaction remplit la pièce et des taches de sang recouvrent les murs.
Un rideau rouge sépare la pièce en deux, je suis les trois autres derrière le rideau où il se trouve des quintuplé japonais (ou quadruplé, je ne sais plus trop) assis en tailleur avec chacun un hachoir à leur droite et devant eux une créature qui ressemble à une carcasse de poulet déplumé, qui bouge en émettant des sons stridents désagréables et qui ont parfois des yeux difformes qui sortent de sous leur peau.

L'homme m'explique que l'on m'attendait, qu'un mal est en moi et je vais devoir tuer une de ces créature, je lui dis que je ne peux pas car je n'arriverais pas à tuer un animal quel qu'il soit, il me répond que c'est important et je dois le faire par moi-même.
Un des japonais se lève et m'invite à m'asseoir à sa place, ce que je fais même si je ne me sens pas très bien, je regarde les autres qui prennent leurs hachoir et fait de même ; ils commencent alors à découper la bête devant eux dont les râles d'agonie sont à la limite de l'insoutenable, je brandis alors mon hachoir et me met à faire de même.
Au moment où toutes les créatures sont mortes nous ressortons de la cabane, il fait toujours très beau et chaud dehors, je respire à plein poumon le bon air de la nature et me sens rudement bien.

mardi 3 juin 2014

Nuit du 5 au 6 Octobre 2013

Les zombis ont envahis la terre, sauf qu'en fait les zombis ne sont pas si méchants que ça, ils ont besoins de beaucoup de nourriture pour se nourrir et lorsqu'ils ont faim ils attaquent toute forme de vie qu'ils trouvent à portée de main mais ne sont pas agressif lorsqu'ils ont suffisamment mangé, et vu qu'ils sont omnivores ils font surtout de grand ravages dans les cultures prenant d'assaut les champs afin de se repaître des différents légumes et céréales qui y poussent.

De nombreux humains sont totalement contre les zombis et organisent des groupes de personnes armés afin de les éliminer, pourtant les zombis peuvent être facilement maîtrisés si on les nourris convenablement, car ils ne vont pas attaquer celui qui leur donne de quoi manger, et ils sont de toute manière destinés à disparaître car lorsqu'ils sont dans un état de putréfaction trop avancé ils ne peuvent plus marcher et leur corps pourri alors sur le sol.

Je me ballade donc avec quelques zombis qui me suivent car je suis leur garde manger, j'apprécie tout particulièrement l'un d'entre eux dont les cordes vocales ne sont pas encore rentrées en putréfaction et qui peut donc parler, les discussions avec lui sont très limitées mais il est plutôt marrant, sortant assez régulièrement des phrases incongrues et décalées qui me font rire, même s'il ne se rend pas vraiment compte de l'absurdité de ce qu'il dit.
Parfois il a des réminiscences de son ancienne vie et me parle un peu de qui il était avant, mais malheureusement ça dure rarement longtemps.

J'ai toujours un fusil à pompe avec moi et je chasse les humains qui chassent les zombis, ça fait de la bouffe pour les zombis qui me suivent et ça ne me dérange pas de les tuer vu que ce sont de toute manière des personnes intolérantes, et égoïstes car il est tout à fait possible de cohabiter avec les zombis si on les nourris ; de toute façon la cohabitation sera de courte durée vu qu'il suffit de quelques mois pour que le corps d'un zombi soit entièrement désagrégé par des voies naturelles.

Vers la fin du rêve je suis à une brocante accompagné du zombi qui parle, je discute avec une personne qui vend un vieux baladeur cassette ainsi qu'une grande collection de cassettes contenant du bon rock psychédéliques des années 60/70 ; remarquant que je n'ai pas assez d'argent pour lui acheter je lui tire un gros coup de shootgun dans le bide pour pouvoir lui prendre le baladeur et les cassettes, puis continue mon chemin et ma chasse à l'humain avec cette fois du bon rock dans les oreilles.
Je me dis que j'ai tout de même été bien vache avec le vendeur de la brocante car en plus d'avoir de bon goût musicaux il était sympa, ça se fait pas trop de le buter juste par manque de fric, je me dis que la prochaine fois je ne recommencerais pas, mais bon, ça ne me perturbe pas plus que ça non plus.

Nuit du 24 au 25 Mai 2014

Je suis dans un monde post-post-apocalyptique, l'apocalypse a dut se dérouler mais il y a de ça très longtemps, il ne reste plus beaucoup d'humains sur terre, quelques millions tout au plus, du coup je vis dans une grande ville remplie de grand immeubles presque vides, les habitants continuant de vivre dans des petits appartements car ceux qui sont vides sont possédés par des individus riches, et faire des travaux en cassant les cloisons pour agrandir leurs appartements leur coûterait de l'argent en plus de devoir sous-louer pour ceux qui n'ont pas les moyens de se les payer et ça dévaloriserait le prix de l'immobilier, du coup ils préfèrent les laisser à l’abandon.

Il existe d'autres types d'humains, qui peuvent avoir de l'énergie grâce à de l'électricité qui passe dans le corps sans connexion filaire, et/ou de l'énergie grâce à une machine qui envoie une onde à une fréquence bien précise, pour ça ils ont besoins d'un composant électronique à l'intérieur de leurs corps ou une modification chimique de leur structure corporelle, et ça permet de dormir beaucoup moins et ne plus avoir à manger.


Je pense avoir subi cette transformation car je me souviens être allé à l'intérieur d'un module qui me régénérait, par contre le pays essuyant une crise économiques certains partis extrémistes rendent responsable ceux qui ont subis cette transformation des différents maux de la société, ils nous accusent d'être mauvais pour l'économie car nous mangeons peu et faire de la concurrence illégale du fait que nous ayons moins besoins de dormir, de plus ce n'est pas égalitaire car selon la physiologie de la personne il est parfois impossible d'accéder à cette technologie, ce qui dérange donc même des riches qui auraient pourtant les moyens de se le payer.


De mon côté je m'en fous un peu de tout ça, je ne me sens pas du tout en phase avec la société dans laquelle j'évolue, et avec un pote nous nous intéressons fort aux travaux d'individus qui auraient peut être réussi à se dématérialiser pour ensuite se téléporter sur une autre planète.
Grâce à l'évolution des technologies les performances des télescopes et des satellites ont fortement augmentées permettant d'avoir des images de plus en plus nettes des différentes planètes, et à un moment de l'histoire on a réussi à voir des images de formes spectrales humanoïdes sur différentes planètes bien distinctes, beaucoup de théories extraterrestres ont alors émergées, puis il fut découvert que c'était en fait des êtres humains terrestres, particulièrement un peuple d'Afrique ou d'Amérique du Sud, je ne sais plus trop, qui disait réussir à aller là bas grâce à diverses transes.
La science occidentale à essayé de comprendre, puis a émis une théorie selon laquelle ce n'était en fait que des projections de l'image de leurs corps grâce à une sorte d'effet miroir, certaines conditions « météorologiques » dans l'espace permettant de créer un prisme qui reflète sur d'autres planètes l'image d'humains localisés à des endroits bien précis, cette théorie une fois établie fut considérée comme la seule plausible et on a plus beaucoup entendu parler de tout ça.

Pourtant au fil des années de nouvelles images plus ou moins spectrales humanoïdes ont étés aperçues sur différentes planètes ; et à travers le monde, ainsi qu'à travers les époques plusieurs chercheurs avaient en fait déjà travaillé sur la téléportation sur d'autres planètes mais leurs recherches avaient bien souvent étés ignorées, les recherches d'un de ces chercheur avec son assistant m'intéressaient tout particulièrement, car ils tentaient de téléporter aussi la totalité de leurs corps physique sur la planète et au bout d'un moment tous les deux avaient disparus, quelques avis de recherche avaient été lancés mais sans succès, je faisais partie des rares personnes qui pensais qu'ils avaient finit par réussir, d'autres pensaient qu'ils c'étaient enfuit quelque part afin que l'on prenne leurs recherches plus aux sérieux, tandis que la majorité de la population était complètement indifférente, à l'époque ça n'avait fait que quelques articles dans les faits divers.

Pour réussir à aller sur une autre planète, ils avaient créé une machine capable d'agir sur la chimie du cerveau et induire des états de transe très avancés, j’appréciais tout particulièrement leurs travaux car ils restaient très pragmatiques quand aux résultats et conclusions, théorisant même sur le fait que ce qu'ils vivaient pouvait n'être qu'une hallucination due à la transe couplé à leurs désir de se retrouver sur une autre planète, pourtant ils avaient réussi à avoir des images de leur propre corps éthériques sur la planète qu'il avaient choisi comme destination, planète qui était assez proche de la terre pour en avoir des images assez nettes de ce qu'il s'y trouvait, et qui était potentiellement habitable au bout de quelques décennies grâce à quelques changements de sa biosphère par l'intermédiaire de diverses machines et microorganismes.

De notre côté nous n'avions qu'un tout petit labo, et notre machine permettant d'induire les transes n'était pas encore tout à fait au point, mais je ne perdais pas espoir quand aux futurs résultats utilisant toute mon énergie à la confection de la machine, à l’expérimentation et à l'étude des différents travaux pré-existants, désirant quel qu'en soit le prix à payer quitter ce monde avec lequel je n'avais plus aucune affinité ni attache.

mercredi 14 mai 2014

Nuit du 8 au 9 mai 2014

Je suis dans un supermarché et j'ai de la diarrhée, je vais donc rapidement vers les toilettes en serrant les fesses.

En ouvrant la porte des toilettes je me retrouve devant une grande piscine, plusieurs enfants jouent dedans, je me dis que je dois m'être trompé malgré les panneaux, mais je remarque une autre porte tout au bout avec de nombreuses personnes qui attendent devant, je vais voir et ce sont bien les toilettes, mais un videur habillé en mafioso nous fais signe d'attendre. 

Au bout d'un moment il nous fait signe de rentrer, à l'intérieur les toilettes sont gardées par la mafia espagnole, ils sont au moins une quinzaine et ont tous des snipers de différents modèles, je me demande alors pourquoi des snipers, surtout dans une salle qui n'est pas très grande, et me dis qu'ils ont surement dus les avoir en promotion.

Il faut traverser un petit pont pour arriver devant une grande grille, tout en passant devant les mafieux qui gardent activement les toilettes et n'ont pas l'air de rigoler.
À droite de la grille accroché au mur se trouvent plusieurs clefs dont les têtes sont d'assez jolies petites sculptures avec des motifs différents pour chaque clef, après en avoir pris une au hasard il faut aller à des petits cassiers bleus et trouver celui sur lequel est dessiné le motif de la clef, puis mettre une pièce de 2€ pour pouvoir ouvrir le casier avec la clef, dans lequel se trouve une autre clef sur laquelle est inscrit le numéro de la toilette qu'il est possible d'ouvrir avec.

Devoir faire tout ceci commence à devenir gênant car l'envie de déféquer devient de plus en plus importante et je commence même à sentir que quelque chose coule entre mes fesses, je fonce donc vers les toilettes qui se trouvent derrière la grille en oubliant pas de saluer les deux gardes, mais je me réveille avant d'avoir pus trouver la toilette avec mon numéro.

Nuit du 5 au 6 mai 2014

Je ne me souviens plus du début du rêve, pourtant ce matin j'étais sur que je m'en souviendrais encore le soir, bref, les rares souvenirs qui reviennent sont ceux de deux filles brunes, dont l'une avec des cheveux légèrement long et frisés, ainsi que d'une assiette vide, mais surtout de mon humeur qui était mélancolique et taciturne, avec une sensation de manque, il me manquait quelque chose que je ne saurait expliquer.

Par la suite je me suis retrouvé dans une cafétéria d'étudiants à la FAC à Liège, ça devait être mon premier jour, j'ai discuté avec quelques personnes qui me paraissaient sympathique mais lorsque j'ai voulu aller manger avec elles j'ai remarqué que la totalité de leur table était prise, je suis donc allé m’assoir à une table avec cinq chaises vides.

J'avais un gâteau de riz en désert car ils n'avaient plus de petites compotes de pomme, à ce moment je pense que personne ne pourrait comprendre la douleur que j'ai ressenti en voyant que jamais je ne pourrais avoir cette petite compote de pomme, sérieusement, la vie vaut-elle le coup d'être vécu sans compote de pomme? J'ai donc peu mangé et suis allé dormir car j'étais fatigués.

Je suis dans une petite chambre, aux murs blancs et froids qui me font penser à un hôpital, et j'ai beaucoup de mal à dormir.
Le lendemain je me réveil en étant très joyeux, avec un important sentiment d'abondance, comme si tout avait changé, le vide était comblé et il y avait encore bien plus.

Aujourd'hui il fait très beau, je me retrouve je ne sais comment sur une grand place de Liège accompagné de pas mal de monde et nous allons tous ensemble à un petit tekos qui se trouve pas loin de la ville.
Des enfants qui ont entre 8 et 11 ans font une course qui traverse la place, l'un d'entre eux, une fille, vole une grappe de raisin sur un étalage tout en continuant la course, le vendeur la voit et n'a pas trop de mal à la rattraper.
Il la prend alors sous son bras et la ramène près de son étalage, la gronde et va remettre la grappe de raisin à sa place, puis prend une autre grappe de raisin plus grande et en la tordant dans tous les sens il arrive à faire la forme d'un petit caniche, comme avec des ballons de baudruche, qu'il donne ensuite à la petite fille dont le visage tout penaud d'avoir fait une bêtise s'illumine tout d'un coup.
Décidément, j'aime bien Liège.

samedi 12 avril 2014

Nuit du 30 au 31 Décembre 2013

J'ai très mal dormis cette nuit, je suis un vendeur d’assurances pour voiture et porte un costume trois pièces.

Mon travail consiste à aller voir du monde pour les pousser à contracter des assurances, ce qui me pose des gros problèmes de consciences, tout d'abords car les assurances automobiles sont obligatoires ce qui déresponsabilise les conducteurs, ensuite car ça file du fric à une grosse entreprise privée, et surtout car mon but est aussi de faire peur aux potentiels clients en leurs parlant de situations d'accidents qui n'arriveront probablement jamais afin qu'ils casquent au maximum en contractant les assurances les plus cher.

Mais d'un autre côté ma mère est fier de moi car j'ai un bon taf, je suis plutôt bon là dedans et mon supérieur m'encourage tous le temps en disant que je fais du bon boulot, du coup j'ai passé toute la nuit à vendre des assurances et à me retourner dans mon lit car je dormais mal tout en culpabilisant de plus en plus à chaque fois que je faisais une belle vente.

Nuit du 14 au 15 décembre 2013


Je vois une grande structure métallique qui ressemble à un boulier pour enfant, enfin, grande je ne sais pas, car je suis à la fois tout petit et gigantesque, j'ai un moi qui se trouve devant cette structure qui parait plus grande que la tour Effeil, et un autre qui la voit de la taille d'un simple boulier pour enfant.

De ce boulier sort d'une des extrémité différentes boules de couleurs qui avancent toutes seules pour atteindre l'autre côté du boulier, et de cet autre côté j'envoie d'autres boules de couleurs, selon un code de couleur bien précis dont je serais incapable d'expliquer la logique, les boules que j'envoie permettent de détruire les boules qui arrivent ou bien elles s'écrasent dessus, le but étant que les boules qui apparaissent n'atteignent pas l'autre côté.
Petit à petit le jeux devient de plus en complexe, parfois les boules arrivent par deux ou par trois et je ne dois lancer qu'une seule boule qui correspond à la somme des deux ou trois autres boules pour pouvoir les détruire.

Au bout d'un moment une boule noir avec une araignée accrochée dessus par l'intermédiaire d'un fil apparait, là je ne sais pas du tout quoi faire pour la détruire car la combinaison pour les boules noirs ne marche pas, du coup j'envoie un peu tout et n'importe quoi, d'autres boules sont lancées jusqu'à ce qu'une boule métallisée et magnétique apparaisse, cela fait bouger le centre de gravité et l'araignée autour de la boule noire commence à se balancer au bout d'un fil de droite à gauche, jusqu'à faire des tours complets autour de la sphère noir, le structure métallique commence alors à bouger puis à s'élever dans les airs.
L'araignée tourne de plus en plus vite autour de sa boule noire et impossible de l'arrêter, ce qui a pour conséquence d'augmenter la vitesse avec laquelle le boulier monte dans les airs; mon moi tout petit peine à ne pas tomber tellement ça va vite, quand tout à coup une main gigantesque de mon autre moi attrape l'araignée et la structure redescend tout doucement sur terre, ouf.

Nuit du 8 au 9 Novembre 2013

Je suis dans ce que je pense être une forêt et je découvre une demi pyramide coupée à l'horizontale en chrysocolle verte polie d'environ 40cm sur 40cm avec une plus petite pyramide en obsidienne d'environ 10cm sur 10cm posée dessus en son centre.

J'apprends qu'il ne faut surtout pas retirer la petite pyramide en obsidienne sous peine d'être maudit; poussé par la curiosité je la retire et vois en dessous un creux, la pyramide en chrysocolle étant vide, dans lequel se trouvent deux grands scolopendres d'un peu plus d'un mètre avec des têtes humaines.

Je ne sais pas comment ils tiennent dans une aussi petite pyramide mais je peux les voir bouger à l'intérieur et parfois ils me regardent fixement puis se remettent en mouvement.

Au bout d'un moment ils sortent tous les deux, je m'écarte car ils peuvent être venimeux, mais une fois sortis entièrement de la pyramide ils se transforment en humain.
En discutant avec eux ils ont l'air plutôt sympa, mais je ne me souviens plus de la suite du rêve.

Plus tard dans la nuit je me retrouve à nouveau dans une forêt avec cette fois une fille d'origine asiatique et un chien.

Je discute pas mal avec le chien qui est très rigolo et joyeux, à un moment il me dit qu'il a quelque chose pour moi de très important à l'intérieur de son ventre, et que je vais devoir l'ouvrir pour pouvoir le récupérer.

Au début je suis plutôt réticent à lui ouvrir le ventre mais il insiste tout en se mettant sur le dos pour me l'exposer; je prend donc un scalpel pour le lui ouvrir tout doucement et j'écarte la peau sur les côtés afin d'exhiber la totalité de son système intestinale.

Une fois ceci accomplis ses boyaux se mettent à bouger et il sort de dessous eux mes trois anneaux de jonglage, que je retire délicatement de son ventre, mais à peine sont ils retirés que des balles de jonglages se mettent aussi à sortir, puis des balles de contacts, des massues, une Game-Boy, etc...

Je n'arrive pas à suivre le rythme des objets qui sortent de son ventre, il s'en trouve de plus en plus et le chien se met à faire des petit glapissements de douleur, de mon côté je commence à prendre peur qu'il en vienne à mourir.

La fille vient m'aider à retirer les objets, à ce moment il en sort des plus gros, comme ma machine à écrire et un vélo, dont les rayons de la roue arrière sont coincés dans les boyaux et à ce moment au lieu d'être content de retrouver toutes ces choses que j'avais délaissées je suis complètement paniqué ayant très peur pour la santé vitale du chien, malgré le fait qu'il me fasse sentir entre deux convulsion que je n'ai pas à m'inquiéter.

Finalement on arrivera à retirer la totalité des objets du corps du chien et il restera en vie mais exténué, je me réveille alors que j'allais lui recoudre le ventre.

Cauchemar de fin 2011

Double rêve simultané, c'est à dire que je fais deux rêves en même temps, je ne passe pas d'un rêve à l'autre mais vis bel et bien les deux au même moment.

Dans un des rêve je suis au fond d'un piscine vide et je vais peut être bientôt me faire exécuter, ou plutôt m'exécuter, car c'est moi-même dans mon deuxième rêve qui suit en train de le décider.
Je ne comprends pas pour quelles raisons je devrais être exécuté et je pleure chaudement tout en tremblant de peur prostré dans un coin de la piscine, je ne comprend pas, j'ai pourtant toujours essayé d'être le plus gentil possible, être serviable avec les autres, ne jamais les faire souffrir... Je regarde l'autre moi qui lui aussi me regarde de haut à côté de la piscine, je le supplie avec mes yeux sans rien dire car j'ai la gorge nouée mais il a un regard haineux; je pourrais m'enfuir en sortant de la piscine mais je m'en sens incapable tellement je suis bouleversé et je ne comprends pas, je ne comprends pas...

Dans l'autre rêve je me regarde du haut de la piscine, je vois cette merde pathétique en train de pleurer et je me demande comment il a pu faire partie de ma vie, je dois choisir de l'exécuter ou non mais je ne sais pour quelles raisons j'ai encore un peu d'empathie pour lui, ou de la pitié, alors que je sais que le bon choix est l'exécution et que je devrais me décider plus rapidement car j'ai d'autres choses à faire.
Au moment où je choisis de l'exécuter et que je m’apprête à demander son exécution, à laquelle je n'assisterais pas car j'ai des choses plus importantes à faire, je me réveil avec un sensation d'inachevé.

mardi 15 octobre 2013

Démon (2011)

Je suis un grand noir de 2m et au moins 110kg de muscles, on discute dans une sorte de cave vide aux murs en bétons, assis sur le sol avec deux autres blacks, une fille et un mec.

A un moment on entend du bruit dehors et je vais voir ce qu'il se passe en regardant à travers un soupirail qui se trouve à environ 1.80m du sol dans la cave, vu que je ne vois pas grand chose hormis le sol je passe par le soupirail et me retrouve dans un grand colisée romain.

Dedans se trouve un autre mec noir, torse nu et bien musclé, je sais que nous allons devoir nous battre.
J'avance vers lui avec conviction les poings fermés, mais alors que j'arrive à une 50aines de mètres de lui il sort un flingue et commence à me tirer dessus; je sens l'adrénaline monter et saute sur le côté pour esquiver les 3 balles qu'il tire, je ressens la totalité de mes muscles comme jamais je ne les aient sentis auparavant.

Après ça il lance le pistolet sur le sol et je me rapproche de lui avec la ferme intention de lui exploser le crâne, mais je le vois prendre discrètement du sable sur le sol, surement pour me l'envoyer au visage. Je veux un combat loyal, le voir agir ainsi me débecte, je décide donc de laisser tomber le combat et part visiter le colisée tout en gardant un œil sur lui.

Sur le mur se trouve une petite affiche, sur laquelle se trouve des dessins aztèques ou mayas qui représentent les différentes étapes de la transformation de l'homme en démon, je reconnais surtout un Bufo Alvarius et reste longuement à admirer les différents dessins.
Quand je détourne mon attention de l'affiche je vois alors dans le colisée le pote avec qui j'étais dans la cave qui est en pleine transformation en démon, il passe successivement les différentes transformations de l'affiche, je suis très heureux et ému pour lui, voyant ça comme l’aboutissement de toute une vie.

Mais au moment où il se transforme en Violator (celui de Spawn) de 3m le mec contre qui je me battais profite qu'il soit en pleine transformation et donc vulnérable pour grimper sur ses jambes et lui arracher la mâchoire; un sang rouge très foncé, limite noir, commence à couler et tomber sur le sable tandis que le Violator s'écroule et convulse sur le sol.

Je sens une énorme colère qui parcourt la totalité de mon corps et des larmes de rage se mettent à couler le long de mes joues, je cours le plus vite possible vers l'autre mec avec la ferme intention de le tuer, arrivé à sa hauteur je lui donne un bon gros coup de poing au sommet du crâne qui le met KO directement sans qu'il ai le temps de faire quoi que ce soit, je me met alors sur lui et prend le bas de sa mâchoire pour la lui arracher, je tire de toute mes forces et par grand à-coups jusqu'à ce qu'elle se détache, je commence à me réveiller mais je ne veux pas le faire tant que je ne suis pas certain qu'il soit mort, je tire donc une nouvelle fois très fort et lui arrache complètement la mâchoire, je vois que ces yeux son révulsés, je me dis donc que ça doit être fini et je peux me réveiller.

Au réveil je me sens un peu nauséeux et pas très bien devant tant de violence.

vendredi 19 août 2011

Automne

On est en automne, je suis dans un jardin en pente dans lequel se trouve quelques arbres fruitiers avec des feuilles aux douces couleurs jaune orangé.
Je m'amuse à faire des roulades dans la pente tout en respirant la bonne odeur de l'automne et en profitant d'une légère brise qui caresse mon visage.

Tout à coup je vois qu'un des arbre bouge anormalement, je vais voir un peu plus près pour remarquer que ce n'est pas un arbre mais un araignée géante, dont les feuilles sont en réalités plusieurs centaines de bébés araignées.
Je m'approche d'elle tout doucement pour ne pas l'effrayer; lorsque j'arrive au niveau de sa tête je me plonge dans ses huit yeux, dont deux d'entre eux sont au moins aussi gros que ma tête.
Je vois dans ses yeux un mélange de curiosité et de peur, je les fixe les trouvant fascinant.
Je me sens bien, et j'essaie d'exprimer à travers mon propre regard une forme de douceur et gentillesse, à un moment je ressens qu'elle n'a plus peur et qu'elle m'accepte, j'ai alors envie de grimper sur son dos et me blottir contre elle avec tous ses enfants; mais en faisant ça j'ai peur d'en écraser quelques uns.
Finalement je m'assoie fasse à elle, et je me réveille malheureusement peu de temps après.